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Activité médicale à titre bénévole
LES MALADIES NEURODÉGÉNÉRATIVES
MERCURE DENTAIRE
SCLÉROSE EN PLAQUES - FIBROMYALGIE - AUTISME
DÉPRESSION NERVEUSE ENDOGÈNE
Des dizaines de millions de personnes concernées
Ne jamais perdre de vue que tous les poisons et toxines agissent à l'état de trace,
En deçà du milliardième de gramme - voir introduction
Sixième partie
Informations sur les maladies neurodégénératives
La Convention internationale de Minamata pour interdire le mercure dentaire
Les autorités médicales et les gouvernements de nombreux pays, conscients de l'extrême danger pour la population, ont pris des dispositions législatives pour interdire le mercure en bouche. Parmi lesquels l'Arménie, le Danemark, Norvège, Suède en 2008, le Japon en 1982, la Nouvelle Zélande, la Russie en 1975, la Suisse. Ainsi que des pays pauvres, Cameroun, Bangladesh, Philippines, Uruguay.. Source.
Tandis que la France utilise à elle seule le tiers du mercure dentaire en Europe !
Contrairement à ce qu'affirme mensongèrement le corps médical français, les vidéos ci-dessous démontrent preuve à l'appui que le mercure contenu dans les amalgames est relargué en permanence dans la bouche d'une trentaine de millions de Français. C'est un des principaux problèmes de santé publique.
vidéo 1 - Relargage du mercure des plombages dentaires.
vidéo 2 - E = M6 - Relargage du mercure des plombages dentaires.
Vidéo 3 - Tous les dangers du mercure au quotidien.
Vidéo 4 - L'aluminium au quotidien
vidéo 5 - Avis du Dr Montain.
Effets des divers toxiques à dosage infinitésimal - milliardième de substances- sur les ensembles cellulaires
Avis d'experts nord-américains
Etude récente de biologie moléculaire démontrant l'effet destructeur des substances chimiques sur les cellules vidéo.
Notamment du Glyphosate, composant du désherbant Roundup utilisé massivement dans le monde - vidéo - Théma - Arte.
Vidéo 6 - surprenante !
S'ajoutent les effets des additifs alimentaires sur le cerveau
Vidéo du Dr Russel Blaylock - neurochirurgien
Introduction Cellconform
Un groupe restreint de chercheurs avant-gardistes reviennent du TOUT GÉNÉTIQUE ériger en dogme fondamental car il laisse bien des questions sans réponses. Sachant qu'à peine 10 % de l'ADN code pour des gènes, le reste ne correspond à rien, ce que l'on surnomme dans le jargon scientifique "l'ADN poubelle".
Si le génétique triomphant du séquençage du génome humain a permis l'acquisition de grands progrès, il a surtout creusé un abîme de perplexité. Pour combler ce vacuum s'ouvre la voie royale de l'épigénétique. Elle seule démontre que l'histoire influence l'héritage biologique reçu ou légué, que les poisons de l'environnement, les modes de vie décalés, l'alimentation industrielle, ont un impact néfaste sur le fonctionnement des ensembles cellulaires.
Voir cette série excellents articles d'Ariane GIACOBINO à commencer par " Les comportements sociaux des abeilles " et " Vos mauvaises habitudes impacteront-elles vos petits enfants ".
Résumé pour épigénétique : L'influence de l'environnement (polluants - stress psychologique - alimentation...) ne change pas la séquence de l'ADN mais le modifie chimiquement sous forme de modulation du fonctionnement des gènes qui sont exprimés ou qui ne sont pas exprimés. Dans un cas comme dans l'autre, il y a des modifications transmissibles au plan cellulaire et à la descendance. Toutefois les marques épigénétiques sont réversibles, rien n'est figé, tout reste possible.
"Ce sont les pères qui mangent des raisins verts mais ce sont les dents des enfants qui sont agacées" Ézéchiel chapitre 18 verset 2. "Décrivez-moi ce que vous mangez et buvez, votre hygiène de vie, votre passé parental et environnemental, et je vous dirai de quelle trempe biologique vous êtes" Cellconform.
Neuroscience : Les individus ayant subi des abus dans l'enfance présentent des modifications épigénétiques spécifiques pour certains gènes dans l'ADN extrait des neurones - travaux de l'équipe de Michael MEANEY université canadienne McGill, 2012.
Notion essentielle d'encouragement pour les malades : Garder présent à l'esprit que les marques épigénétiques potentiellement acquises ou transmises sont potentiellement réversibles par résilience biologique et/ou psychologique.
FIBROMYALGIE
3 millions de personnes en France, 10 femmes pour 1 homme - voir cette vidéo. 5 millions en incluant les symptômes pré-fibromyalgiques, tout aussi pénibles
La maladie la plus typique de l'encombrement cellulaire
Le prototype des états considérés comme inexplicables et incurables
Une maladie mal nommée : c'est en 1904 que GOWERS l'a décrit pour la première fois sous le nom de fibrosite, un terme inapproprié puisqu'il n'existe ni fibrose, ni inflammation nette des muscles. En 1981, KAHN et AUDISIO parlent de polyentésopathie, choix critique car les douleurs ne se limitent pas aux enthèses - zones d'insertions osseuses des capsules articulaires, des ligaments, des tendons. Plus tard les mêmes auteurs proposent le syndrome polyalgique idiopathique diffus - SPID. Entre-temps les Anglo-Saxons avaient proposé le terme de fibromyalgie qui évoque à tort une fibrose absente. L'influence de la langue anglaise étant prédominante, c'est cette piètre appellation qui s'est imposée.
Une maladie qui a été longtemps niée par l'immense majorité des médecins. Ce n'est qu'en 1992 que la déclaration de Copenhague a reconnu son existence tout en admettant l'ignorance des médecins sur ses origines, ou pathogénie. De nombreux patients mécontents d'être traités en psychopathe malgré leur souffrance réelle se sont regroupés en association.
Définition : Etat douloureux musculo-squelettique spontané diffus bilatéral évoluant depuis plus de 3 mois associé à 12 points tendino-musculaires - voir en première partie B- les liaisons du mercure avec d'autres molécules non originelles et conséquences C- La Fibromyalgie est la maladie la plus typique de l'encombrement cellulaire.
Outre les douleurs articulaires chroniques, sourdes ou aiguës, ou l'alternance des deux, les autres symptômes sont la fatigue persistante, les troubles du sommeil, ballonnements, troubles du transit - constipation ou diarrhée - douleurs abdominales, spasmes, digestions lentes, aigreurs. Parfois une forte anxiété et signes de dépression.
Cellconform fait observer : l'on remarque qu'aucune partie du corps n'est épargnée. Ceci est la démonstration même que l'encombrement des cellules puis des ensembles cellulaires par les métaux lourds liés (liaison covalente) aux molécules non originelles, incluant les neurones et les astrocytes (anxiété, dépression, endogène), s'étend, se propageant immanquablement au fil du temps à toutes les strates et fonctions de l'organisme.
La recherche Nord-américaine reconnait enfin que cette maladie n'est pas psychosomatique. Une équipe de chercheurs d'Albany aux Etats-Unis a identifié en 2013 certaines altérations du corps qui seraient responsables de cette maladie. Lorsque la température chute - hypothermie - ou monte - hyperthermie - l'hypothalamus agissant en thermostat permet de maintenir la température à l'équilibre. Lors d'une activité musculaire accrue, un autre régulateur le shunt arterio-veineux intervient au niveau des extrémités - pieds et mains. Ce dernier agit comme une soupape entre les artérioles ou les veines qui alimentent le corps en sang oxygéné optimisant le fonctionnement et le nettoyage - toxines - des organes.
Selon les chercheurs d'Albany, le dysfonctionnement du shunt arterio-veineux serait à l'origine des douleurs de la fibromyalgie. Dans ce contexte, les muscles et les tissus ne peuvent pas être normalement alimentés, ni débarrassés des toxines, d'où l'accumulation d'acide lactique dans les muscles et le tissu sous-jacent qui génère les douleurs diffuses caractéristiques de cette maladie. De surcroît, le dysfonctionnement du shunt transmet des messages erronés au système nerveux central qui les interprète par des signaux de douleurs.
Cellconform se doit de repositionner cette découverte dans son véritable contexte. L'équipe d'Albany a omis de mentionner les travaux antérieurs de recherche réalisés en 2001 par le Dr Jean SEIGNALET.
Celui-ci explicite les causes globales de la fibromyalgie en les situant, bien en amont, au niveau des dysfonctions sises au plan de la cellule, des rouages cellulaires, de la signalisation cellulaire. Conséquemment en aval les perturbations chroniques ou répétitives sur les ensembles cellulaires, observables en symptomatologie sur les strates et zones tissulaires.
Voir la démonstration d'antériorité de ces affirmations, plus haut, à la rubrique "La fibromyalgie est la maladie la plus typique de l'encombrement cellulaire" les textes en rouge à partir du sous-titre "La notion d'encombrement cellulaire". D'autre part l'acide lactique n'est pas la cause centrale des douleurs musculaires et courbatures.
ALZHEIMER
1 million de personnes en France - 35 à 37 millions dans le monde.
Description abrégée en vidéo - voir les premiers signes en vidéo
Parmi les signes évidents de la maladie, la perte de mémoire court terme, l'on ne se souvient pas de faits vécus la veille ou les jours précédents. Par contre dans la plupart des cas, la mémoire long terme n'est pas atteinte, l'on se souvient de faits vécus il y a plusieurs années ou décennies.
Selon l'équipe du Dr SCOTT de l'université de Georgetown, une nouvelle découverte pourrait permettre de faire un test rapide de dépistage de la maladie d'Alzheimer par l’œil. Sachant que la rétine est considérée comme une extension du cerveau, le film sensible à la lumière à l'arrière de l’œil. Des tests sur les souris ont révélé que les couches de la rétine étaient jusqu'à 49 % plus fines chez les animaux aptes à développer la maladie, comparé aux animaux sains du même âge.
Cellconform précise que le protocole de soins, décrit plus haut, inclut un traitement électrique de détoxification intracellulaire des neurones à partir de l’œil.
L'âge est le premier facteur de risque non modifiable, après 60 ans la courbe grimpe de façon exponentielle. À 85 ans c'est 10 à 15 % des populations occidentales qui sont touchées, notamment les femmes dont l'espérance de vie est plus grande.
Cellconform précise que plus l'âge avance, plus les ensembles cellulaires sont encombrés par les métaux lourds et par les molécules non originelles issues de la chimie, de l'alimentation moderne.
Trop de graisse abdominale : un lien entre la bedaine et Alzheimer, une recherche indique qu'un niveau insuffisant de la protéine PPAR-alpha qui contrôle le métabolisme des graisses dans le foie, aussi présente dans l'hippocampe, le centre de la mémoire du cerveau, contrôlant les processus de mémorisation et d'apprentissage, favorise la maladie.
Cellconform précise que l'injection de PPAR ne pourrait être efficace sans une détoxification intra et extra cellulaire préalable.
L'équipe du Dr FARR de St Louis Univesity of Medicine a réalisé des tests comportementaux sur des souris atteintes de déclin cognitif lié à l'âge, découvrant que l'extrait de romarin et de menthe verte même à faible dose apportait une amélioration significative de la mémoire dans deux de ces tests. Ces extraits riches en antioxydants permettent aussi de réduire les niveaux de stress oxydatif dans la partie du cerveau qui contrôle l'apprentissage de la mémoire.
Cellconform indique que l'avenir de la médecine préventive et curative dans tous les secteurs d'intervention trouve sa vraie source parmi les substances biochimiques naturelles, non pas dans les préparations chimiques de la pharmacopée industrielle aux effets secondaires dévastateurs.
L'huile de coco biologique peut prévenir la maladie et plus largement le déclin cognitif - lien et vidéo
PARKINSON
175.000 personnes en France - 4 millions dans le monde.
Description en vidéo
Signes avant-coureurs
Avant l'émergence des troubles moteurs caractéristiques de cette maladie, se produisent des troubles non-moteurs qui peuvent annoncer cette pathologie
Une étude américaine menée sur 7000 personnes pendant 24 ans a révélé que les individus allant à la selle moins d'une fois par jour avaient un risque 2,7 fois plus élevé de développer la maladie. Avant l'éclosion des troubles moteurs, il y a des troubles non-moteurs par exemple une constipation sévère.
Sommeil agité : Selon les recherches du Dr POSTUMA - Canada - 50 % des personnes atteintes d'un trouble du sommeil paradoxal - rêves agités - coups de pieds - coups de poing - amenant à extérioriser leurs rêves, épisodes d'endormissement dans la journée, risquent de développer la maladie.
Douleurs aux articulations : confondues avec les douleurs liées à l'âge - souvent le long de la colonne vertébrale et aux articulations.
Crampes et raideurs : ou tension excessive des muscles (hypertonie).
Baisse de l'odorat : elle est liée au dérèglement du système nerveux central. En 2008, des chercheurs japonais ont suivi 2267 hommes, se rendant compte que les sujets ayant les plus bas scores au test d'odorat avaient plus de risque de développer la maladie.
En Floride, des tests cliniques olfactifs à l'aide de beurre de cacahuètes ont été conduits avec succès pour détecter plus rapidement, plus facilement la maladie.
Dépression : un quart des Parkinsoniens souffriraient de dépression avant que le diagnostic de la maladie soit posé, un état imputable à la diminution de la dopamine qui entre en jeu dans la régulation de l'humeur, du tonus et du plaisir.
Tremblements au repos : surtout au niveau des extrémités - main - poignet - doigt - parfois au niveau des lèvres. Le tremblement disparait généralement pendant le sommeil et réapparaît au réveil. Il est assez régulier et plutôt ample. Au début de la maladie il ne concerne souvent qu'un seul côté du corps. Un vieillissement réussi ne comporte pas de tremblements.
Une lenteur dans les gestes : avec le temps la lenteur est associée à un risque élevé de chutes. Faire les choses avec difficulté, marche lente avec des petits pas, lenteur inégale des mouvements , fatigue et engourdissements complètent ce signe. Cette lenteur peut se traduire par le fait d'écrire de plus en plus petit.
Parkinson, une évolution lente.
Cellconform précise que l'évolution de la maladie est parallèle à l'encombrement cellulaire progressif par les
métaux lourd et par les molécules non originelles, une dizaine d'années s'écoule avant que les premiers troubles moteurs apparaissent, à l'instar de la fibromyalgie.
Parkinson et dépression nerveuse
Après le décès de l'acteur américain Robin WILLIAMS et les révélations sur sa dépression et son début de maladie de parkinson, une étude parue dans la revue scientifique Neurology établit un lien entre ces deux pathologies. La dépression serait un mal plus fréquent qu'on ne le pense chez les patients qui souffrent de Parkinson et ce trouble mental est insuffisamment pris en compte, donc rarement traité.
Les chercheurs de l'école de médecine de l'Université de Pennsylvanie ont suivi 423 patients chez qui on a diagnostiqué récemment la maladie de Parkinson. Leur santé mentale a été observée pendant deux ans. A la fin de l'expérience, 14 % des patients malades ont été reconnus dépressifs contre 6.6% chez les volontaires sains. Pendant ces deux ans, une augmentation de la fréquence et de la sévérité de l'état dépressif a été constatée dans le "groupe Parkinson", à la différence du groupe témoin. Au début de l'étude, 16 % des patients prenaient des antidépresseurs. Un taux qui est grimpé à 25 % deux ans après. Néanmoins, 65 à 72% des malades de Parkinson dont la dépression a été a diagnostiquée n'ont reçu aucun traitement.
Des causes mal connues - vidéo
On ne sait pas si la dépression est un signe de Parkinson ou bien si ce trouble mental constitue un des effets secondaires du traitement de la maladie. Mais pour les auteurs de l'étude, il est clair que la dépression n'est pas assez reconnue chez les patients. Ils recommandent aux patients inquiets d'éprouver certains symptômes caractéristiques (pensée négatives, ralentissement intellectuel, épuisement, dévalorisation...) de la dépression d'en parler sans attendre à leur professionnel de santé.
SCLÉROSE EN PLAQUES
200.000 personnes en France - environ 3,5 millions dans le monde.
Description abrégée en vidéo - voir les symptômes en vidéo
Utiliser l’œil comme une fenêtre du cerveau par eye scan ce que propose les chercheurs de l'institut Hopkins, publication dans Lancet Neurology. Un simple balayage oculaire permettrait très facilement d'évaluer la progression de la maladie - source.
La remyélinisation est possible. Une confirmation du Joslin Diabetes Center de l'université d'Harvard, de l'université de Cambridge, montre que la démyélisation ou perte des gaines de myéline qui entourent les fibres nerveuses peut être réversible, publication de la revue Cell Stem Cell du 5 janvier 2012 - source.
Les chercheurs britanniques des universités de Cambridge et d'Edimbourg ont identifié sur l'animal un mécanisme essentiel apte à inciter les cellules souches du cerveau à réparer les gaines de myéline atteintes par la maladie. Résultat de cette recherche du 5 décembre 2010.
Cellconform vise cette voie, simplement en aidant l'organisme à s'auto-réparer à l'aide d'un traitement biochimique, deux traitements physiques et un traitement électrique.
Janvier 2014, des chercheurs de George Washington University of Medicine ont annoncé l'identification de l'endothéline - ET-1- une molécule impliquée dans le développement de la sclérose en plaques. Ils ont observé au niveau des astrocytes localisés à proximité des zones exemptes de myéline une activation importante de ET-1 qui freine l'action des oligodendrocytes chargés de la réparation de la myéline. L'objectif consiste donc à bloquer l'action de l'ET-1 pour rétablir la réparation de la myéline et le passage de l'influx nerveux.
NB : Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les maladies neurodégénératives touchent les individus de plus en plus jeunes. Le mode de vie, l'agriculture dénaturée, l'alimentation industrielle, les champs électromagnétiques hyperfréquences (wifi - téléphone portable) en sont les principales causes.
AUTISME
440.000 personnes en France - l'équivalent de la ville de Lyon - 67 millions dans le monde
Au cours des 20 dernières années + 600 % de cas recensés.
Description abrégée en vidéo
Lien direct entre vaccins et autisme - vidéo
L'autisme présente une similitude avec la sclérose en plaques du fait de l'anomalie de la myéline - source.
Avril 2013, la revue Biological psychiatry indique qu'il devient possible d'établir un diagnostic des plus précoces d'autisme en examinant le placenta (4 inclusions ou plus du trophoblaste) à la naissance - source.
Selon la revue Nature, l'étude conduite à l'Emory University of Medicine d'Atlanta portant sur les mouvements des yeux des bébés de 2 mois à 24 mois, relatant un contact visuel réduit, un regard qui ne suit pas, ou évite, celui de l'adulte, l'absence d'expression et de réponse, d'insensibilité, à la voix doivent éveiller l'attention des parents. Ces signes constituent un comportement prédictif lié au symptôme de trouble autistique (TSA) - source.
L'institut Kennedy Krieger vient d'identifier un facteur prédictif du spectre TSA chez l'enfant âgé de 5 à 6 mois. C'est un simple test postural de traction de l'enfant en position assise permettant de contrôler le décalage du mouvement de la tête, leur capacité à maintenir l'alignement de leur tête alors que l'enfant est doucement tiré par les bras de la position couchée sur le dos vers la position assise. 90 % des nourrissons avec diagnostic TSA présentent ce décalage au plus jeune âge - source.
L'étude de l'Harvard School Health publiée dans la revue Environmental précise que les particules de diesel, plomb, manganèse, mercure, affectent le développement du cerveau de l'enfant. Un double risque d'avoir un enfant atteint d'autisme pour les femmes exposées à de forts niveaux de pollution durant leur grossesse par rapport à celles de zones plus préservées - source.
Le National Health Institute britannique démontre que la prévalence des troubles autistiques - TSA est extrêmement élevée chez les adultes présentant un trouble de l'apprentissage, 60 % des hommes, 43 % des femmes. Pour la première fois l'on met en lumière cette association significative chez l'adulte entre TSA et apprentissage - source.
Des chercheurs du King College de Londres en étudiant l'autisme chez des jumeaux génétiquement identiques ont observés des changements épigénétiques dans les troubles du spectre autistique (TSA). Des sites du génome présentent des changements épigénétiques distinctifs de l'autisme, ce qui confirme le rôle de l'épigénétique dans le développement de traits de comportement autistique - source.
Un gène pourra être lu ou exprimé différemment selon les circonstances. On sait aujourd'hui que les processus chimiques très divers de l'épigénétique (acétylation, méthylation, phosphorylation, ubiquitination de la chromatine, modifications post-transcriptionnelles..) jouent un rôle dans le développement de nombreuses maladies, le cancer, des traits comme le comportement, le vieillissement ou la longévité des individus...
Des études récentes menées sur les végétaux ou les animaux suggèrent que certaines modifications épigénétiques acquises au cours de l'existence peuvent se transmettre aux descendants. C'est un domaine de recherche en pleine expansion, un des enjeux scientifiques et médicaux majeurs du vingt-et-unième siècle.
L'édition du JAMA de février 2013 fait référence à une étude norvégienne sur 85.000 enfants démontrant que la prise prénatale et en début de grossesse d'acide folique (vitamine B9) réduit considérablement le risque d'autisme, en prévention des anomalies du tube neural, et sur le risque de troubles du développement neurologique - source.
Stanford University a déposé un brevet pour la NAC - N-acéylcystéine - un des auteurs de l'étude sur 31 enfants ayant des intérêts dans une société qui la fabrique et la vend. Sachant que cette spécialité agit sur l'irritabilité un signe fréquent 60 à 70 des enfants autistes. Selon la Yale School of Medecine, l'ocytocine hormone naturelle du bien-être, de la confiance en soi, pourrait être utilisée pour améliorer la fonction cérébrale dans les régions clés du cerveau qui traitent la communication sociale chez les enfants et adolescents TSA.
Cellconform indique que cette spécialité est aussi disponible chez Smart city comme l'acide alpha lipoic, le MSN, le Méthylcobolamine.. les autres spécialités du traitement biochimique incluses dans le protocole général de détoxification de la Klingherdt Academy. Le NAC pourra être utilisé dans le cadre de l'autisme.
Les sujets autistes auraient trop de connections entre les neurones
On entend souvent dire que les autistes seraient des enfants qui n'ont pas grandi. Cette affirmation a priori sans fondements ne serait en fait pas complètement aberrante : les autistes auraient en effet trop de connections entre leurs neurones (connections appelées synapses), à cause d'un défaut dans l'élagage de celles-ci. Avec l'âge, le nombre de synapses est sensé diminuer, ce qui ne serait pas le cas pour les autistes.
Des chercheurs du Columbia University Medical Centre de New-York - USA - ont mené une étude sur le lien entre autisme et nombre de connections synaptiques. Ils ont d'abord analysé les cerveaux de 26 autistes, et comparé le nombre de synapses d'une région clé du cortex de ces cerveaux atteints avec celui de 22 cerveaux d'individus sains, donnés à la science. C'est alors que les scientifiques ont constaté que la densité synaptique des autistes était supérieure de 50% à celle des individus sains.
Source: Loss of mTOR-Dependent Macroautophagy Causes Autistic-like Synaptic Pruning Deficits, publié dans la catégorie Neuron de la revue scientifique Cell, le 21 août 2014.
Cellconform indique : que le médicament, la rapamycine, utilisé sur la souris pour ré-étager ces connexions, comme la plupart des autres médicaments utilisés pour les pathologies neurodégénératives, a des effets insupportables et ne pourra pas être utilisé pour l'homme.
CANCER
Une étude démontre la vérité mortelle sur la chimiothérapie
http://www.naturalnews.com/038811_chemotherapy_tumor_growth_fraud.html
Voir cette vidéo qui a la force de la simplicité