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Activité médicale à titre bénévole 

 

 

Le cancer, pestilence du vingt et unième siècle

 15 juillet 2018

 

 

Ne jamais perdre de vue que tous les poisons et toxines agissent à l'état de trace,

                   En deçà du milliardième de gramme   -   voir  introduction

 

 

La première cause de mortalité en France et dans le monde. Un homme sur deux, une femme sur trois seront confrontés au cancer avant l'âge de 85 ans. Plus de 15 millions de décès/an dans le monde, plus de 22 millions en 2030, soit une hausse de 75 % sur 2008. Ces données sont  probablement sous-estimées pour ne pas effrayer les populations.

 

Le grand public est systématiquement soumis aux contraintes de traitements lourds, chimiothérapie, radiothérapie, sans savoir que ces traitements sont destructeurs des ensembles cellulaires, du foie, du pancréas, et générateurs de métastases.

 

 

Nous sommes tous concernés par le processus des métastases 

 

Voir la vidéo ci-dessus - Zone métastatique - Sachant que le point de départ des métastases n'est pas la tumeur,

Mais les trophoblastes présentes dans tout l'organisme dès la naissance, dont le gène a été exprimé, éveillé.

 

Les trophoblastes sont les cellules périphériques de l’œuf qui forment le placenta de la mère. Ce dernier relié à l’embryon va le nourrir jusqu’à son complet développement. Les trophoblastes génèrent d’une part les cellules souches, d’autre part une série de cellules migrantes vers les testicules et les ovaires du fœtus, selon qu’il s’agisse d’un garçon ou d’une fille.  

 

Au cours de cette migration, environ trois milliards de trophoblastes ne parviendront pas jusqu’à leur cible et seront répartis, puis intégrés à des cellules spécialisées formant les divers tissus non génitaux de l’embryon. Ce processus du placenta dit métastasique formant des trophoblastes se développerait indéfiniment sans l’action d’une enzyme, la pancréatine secrétée

par la mère, la septième semaine de grossesse, afin de bloquer ce processus en temps opportun.  

 

Rapport entre pancréas et cancer. Au cours de la vie adulte, si le gène des cellules trophoblastes issues du processus placentaire métastatique initial venait à être exprimé (réactivé) négativement - vidéo - consécutivement à l'action néfaste d'éléments nocifs : produits, additifs chimiques, mauvaise alimentation, tabac, pollution, ondes de haute et basse fréquence, stress... ;  alors celles-ci chercheraient à reproduire leur parcours embryonnaire initial consistant à former du tissu placentaire pour un fœtus qui n’existe plus.  

 

Tout individu porte donc en lui un potentiel cancéreux de type métastasique qui peut s’exprimer, se déclencher, à tout moment de la vie. Est-ce inquiétant ? Non tant que la pancréatine est suffisamment secrétée pour neutraliser cette migration potentielle tout au long de la vie comme elle le faisait à l’état embryonnaire, via la pancréatine de la mère. 

 

Avant tout la détoxification, en réalité l’organisme ne meurt pas du cancer mais des suites de l’intoxication et de la dénutrition qui lui est associée. Plus la tumeur grossit, plus elle produit des déchets cellulaires qui surchargent les émonctoires : intestin –  foie en particulier – poumons  – reins – peau. Lesquels sont saturés jusqu’à ce que l’individu meure d’une intoxication massive.  Avant d’entreprendre un processus de guérison, il est essentiel que l’organisme puisse évacuer les toxines accumulées tout au long de la vie - voir en bas de page, le sous-titre "Toute l'importance de conseils avisés tout au long de la vie".

 

 

 

Les cancers les plus courants sont Chez l'homme : poumons - côlon - rectum - prostate - foie - estomac.  

                                                                      Chez la femme : sein - col de l'utérus - estomac - côlon - rectum.

 

Les 10 signes ou symptômes à connaitre :

 

1- Les démangeaisons, l'organisme considère un développement cancéreux comme s'il s'agissait d'une bactérie, car le système immunitaire va se mobiliser pour protéger le corps et expulser les intrus. Cette opération augmente le flux sanguin dans la zone cancéreuse d'où un changement de couleur, associé à des sensations de démangeaisons.

 

2- Les plaies, une petite blessure, une légère coupure qui ne guérissent pas. C'est l'organisme qui concentre toutes ses ressources et qui priorise tous ses moyens pour détruire d'abord les cellules cancéreuses. 

 

3- Les lésions ou enflure sur, dans, la bouche, gencive, gorge.

 

4- une toux intensive et persistante, accompagnée ou pas de crachats sanguinolents, peut être un signe de cancer des poumons, de la gorge, ou de l’œsophage.

 

5- Les changements de la voix, enrouée depuis quelques semaines, et/ou une gêne lorsque l'on avale, un mal de gorge persistant, peuvent correspondre à un cancer du larynx.

 

6- Les saignements inhabituels, du vagin, hors du cycle menstruel, sont les signes les plus courants du cancer du col de l'utérus.

Les saignements observés au niveau du mamelon sont liés au cancer du sein.

 

7- Les troubles de la miction peuvent correspondre au cancer de la vessie et de la prostate : difficulté à uriner, changements de couleur des mictions, présence de sang dans l'urine, besoin fréquent d'uriner.

 

8- La perte de l’appétit, la perte d'attirance pour la nourriture, sont la conséquence des changements du métabolisme confronté au cancer.

 

9- Les changements dans les selles, la consistance, la couleur, l'odeur, la présence de glaires, de sang.

 

10- Les kystes ou ganglions qui apparaissent sur les seins, la gorge, le ventre, sous les aisselles. D'où l'importance de s'auto-examiner régulièrement pour noter les changements qui pourraient se produire au fil du temps.

 

 

 

L’Empoisonnement alimentaire et pharmaceutique

 

Dernière édition septembre2020 - ebook disponible chez Amazon

 

 

Voici l'extrait du livre "L'empoisonnement alimentaire et pharmaceutique " aux chapitres 29 et 30 : 

 

1 - Selon le journal Nature Medicine du 5/08/12, Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer research Center de Seattle, dont Peter NELSON, co-auteur de l'étude, ont découvert de façon fortuite que  la chimiothérapie génère jusqu'à 30 fois la production d'une protéine spécifique WNT16B dans les cellules saines. Cette protéine est absorbée par les cellules tumorales voisines et interagit les faisant grossir et devenir résistantes à la chimiothérapie suivante. L'étude démontre que le rythme de reproduction

des cellules cancéreuses s'accélère entre les traitements, entraînant ainsi la croissance et la résistance de tumeurs. 

 

2 - Les conclusions de l’’équipe Inserm 866 spécialisée Nutrition et cancer, publiées en novembre 2012, par la revue Nature Medicine,  dénoncent deux médicaments de chimiothérapie – le 5-Fluorouracile et le Gemcitabine – couramment utilisés pour le traitement des cancers du côlon, du sein, du pancréas, qui peuvent favoriser le développement de tumeurs cancéreuses. 

 

Ces poisons activent un complexe protéique – Inflammasome NLRP3 – au sein de certaines cellules du système immunitaire. Cette activation génère la libération, par les cellules, de la cytokine pro-inflammatoire et de l’interleukine IL-1beta ; laquelle génère à son tour la production d’une autre cytokine – IL-17 – aux propriétés pro-tumorales ce qui favorise angiogenèse tumorale – l’irrigation vasculaire des tumeurs. C'est ainsi que ces poisons boostent l’irrigation des vaisseaux sanguins conduisant à la tumeur qui abondamment nourrie par ce moyen grossit plus rapidement.  

 

3 - L'équipe de Massoud MIRSHAHI de l'université Pierre et Marie Curie a découvert en 2009 que de nouvelles cellules du microenvironnement tumoral sont impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et la production  ultérieure de métastases. C'est pourquoi ces cellules ont été dénommées à juste titre "Hospicells" car elles servent de niche, de gite, ayant capacité à fixer un grand nombre de cellules malignes tout en les protégeant de l'action de la chimiothérapie et du système immunitaire. Autre volet majeur de la découverte, le matériel membranaire des Hospicells migre vers les cellules cancéreuses, et vice-versa.

 

Les Hospicells sont identifiables dans les épanchements pleuraux (liquide dans le poumon) de malades atteints de cancer.  Elles proviennent d'une réaction anormale, contre nature, de différenciation forcée, opérée par les cellules souches de la moelle osseuse. C'est dire les conséquences cellulaires et génétiques foncièrement intrusives que provoque la chimiothérapie.

 

 

La microscopie électronique révèle la fusion entre les Hospicells et les cellules cancéreuses, via leurs membranes respectives. Cette fusion permet le passage, transit, échange, du matériel cellulaire et génétique de chacune d'elles, des unes aux autres, par le moyen du transfert membranaire, dit de trogocytose. 

 

S'en suit le recrutement, toujours par transfert membranaire, de cellules immunitaires immunosuppressives, ainsi nommées car elles ont capacité d'inhiber, d'empêcher, les réactions immunitaires sécures de l'organisme.

 

Par conséquent, c'est le champ libre au développement du cancer puisque les cellules cancéreuses sont tout à la fois 1) renforcées par les éléments de ce multi-transfert de la migration membranaire  2) préservées de l'action offensive naturelle du système immunitaire.

 

 

Depuis plusieurs décennies la chimiothérapie est dénigrée par une partie des cancérologues, notamment Nord-américains, dont plusieurs sommités internationales, qui ont osé exprimer leur doute de guérison par les voies classiques. L'un des premiers fut Hardin B JONES, alors professeur de physique médicale et de Physiologie à Berkeley.

 

1- En 1956 JONES indiquait à la presse les résultats alarmants d'une étude sur le cancer qu'il venait de conduire durant 23 années auprès de cancéreux ; d'où sa conclusion "Les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne 12 ans et demi, tandis que ceux qui se sont soumis à l'intervention médicale et aux autres traitements conventionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement".

 

2 - Le Dr Charles MOERTAL, cancérologue de la Mayo Clinic, dit " Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d'effets secondaires, et après que tous les patients traités aient payé ce prix, seule une petite faction ne bénéficie que d'une période transitoire de régression incomplète de la tumeur".

 

3- « La plupart des patients atteints de cancer dans ce pays meurent de la chimiothérapie. Ce traitement n'élimine pas les cancers du sein, du colon, du  poumon. Ce fait est documenté depuis plus d’une décennie et pourtant les médecins l’utilisent toujours pour traiter les tumeurs » Dr Allen LEVIN – In the Healing of Cancer 1990. 

 

4 - Pour le Dr Peter GLIDDEN " La chimiothérapie ça ne fonctionne pas, c'est inefficace à 97 % des cas, s'agissant d'un vaste profit et gaspillage d'argent".

 

5 - John CAIRNS, professeur de microbiologie à l'université d'Harvard, a publié en 1985 dans le Scientific American " A part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants". Il conclut " Il n'a jamais été établi que n'importe quel type de cancer puisse être guéri par ce moyen".

 

6 - « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable ; aucun néoplasme (architecture anormale d'un tissu humain) disséminé, incurable en 1975, n'est guérissable aujourd'hui». Dr Albert BRAVERMAN - Hématologue et cancérologue New Yorkais. 

 

7 - Le Dr Alan NIXON, ancien président de l'American Chemical Society dit "En tant que chimiste, entraîné à interpréter les publications médicales, il m'est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l'évidence : la chimiothérapie

fait beaucoup plus de mal que de bien".

 

8 -Le Dr Glenn WARNER, l’un des plus grands oncologues aux USA disait de façon directe « Cette industrie tue les gens uniquement pour des intérêts financiers. Leur conception de la recherche consiste à déterminer si deux doses de poison valent mieux que trois doses de ce même poison ». 

 

9 - Le Pr Georges MATHÉ , pionnier français de la lutte anti-cancer, disait au journal L'Express "Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anticancéreux" - Le Monde, 4 mai 1988. Le 4 octobre 1985, il déclarait " Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit ; malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimio-thérapeutes et par les laboratoires, puisqu'il s'agit d'une Cancer connexion".

 

Vidéo de toute première importance

 

 

10 - Le Dr André GERNEZ, génie en médecine fondamentale, fait partie des chercheurs exclus, notamment en France car son nom n’apparaît ni dans les universités, ni dans les hôpitaux, ni dans les documents qui y circulent ! Et pour cause il disposait d'un protocole spécifique apte à prévenir non seulement le cancer, mais aussi la majorité des maladies dégénératives.

 

Fin des années 1960, il crée son groupe de Biologie - Union Biologique Internationale - UBI. A partir de 1960, GERNEZ révolutionne des principes de la biologie en découvrant la cellule souche. Le 23 décembre 1971, les américains lancent le plan anti-cancer. Le conseiller de NIXON, John ROONEY, annonce à toute la presse qu'en 1976, date du bicentenaire de l'indépendance, la victoire sur le cancer sera totale ; s'agissait-il d'un coup de bluff ? Pas du tout, cette déclaration était solidement basée sur les découvertes du Dr GERNEZ notamment son protocole préventif, corroboré à 93 %  par une étude

de l'Inserm  de 1971.

 

Le 17 juin 1979, il reçoit à Salzbourg, Autriche,  le prix Hans Adalbert Schweigart décernée par un Jury de 400 scientifiques, dont 40 prix Nobel, la quasi-totalité de la presse française censure l'information. Le 7 novembre 2007 il reçoit à Paris la médaille d'or de la part du Sénat français pour l'ensemble de ses travaux. Auteur du livre le "Scandale du siècle", il relate le stratagème des autorités de santé françaises et du milieu politique pour faire barrage et censurer ses travaux d'intérêt public à l'entier détriment de générations d"hommes de femmes, d'enfants, sur tous les continents.

 

Au sujet du cancer, tel qu'il est traité depuis des décennies, André GERNEZ déclara  « la chimio endommage l’ADN des cellules saines de façon persistante sur le long terme, un préjudice qui persiste longtemps après la fin du traitement. Cette combinaison d’effets néfastes fait de cette thérapeutique une hérésie qui tue irrémédiablement les malades, apparemment guéris, cinq à sept années plus tard ».  

 

Parmi de nombreux chercheurs et inventeurs confrontés à une opposition farouche de la part du milieu médical et politique pour leurs travaux permettant de soigner, sans risque, sans séquelle, le cancer, voir le cas PRIORE - vidéo.

 

 

 

1- Les deux nouveaux médicaments d'anti-angiogenèse, utilisables pour bloquer les vaisseaux sanguins qui nourrissent les tumeurs, utilisés en chimiothérapie, provoquent le développement de nouvelles tumeurs, selon les recherches entreprises par des chercheurs de la Harvard Medical School de Boston.

 

Le Glivec et le Sutent utilisables pour réduire la taille des tumeurs, détruisent dans le même temps les péricytes, des cellules ayant pour fonction de maintenir sous contrôle la croissance des tumeurs. Libérée des péricytes la tumeur peut aisément s'étendre et se répartir en exosomes (voir la vidéo du haut de page) puis en métastases - Cancer Cell du 10 juin 2012.

 

2- Les médicaments classiques, surtout les agents d'alkylation (mono-et--bi-fonctionnels), sont connus pour générer des cancers secondaires, dont la leucémie, car ils endommagent l'ADN. Ces substances créent un lien chimique fort entre elles-mêmes et un ou plusieurs groupements (carboxy) d'un acide nucléique. Lors de la division cellulaire, le dédoublement des 2 brins d'ADN est freiné, la transcription est stoppée, aboutissant à "l'avortement" de la division cellulaire.

 

Les mono-fonctionnels favorisent l'apparition d'ADN porteur de malformations susceptibles de dégénérer en cancers chimio-induits, leucémies en particulier. Ces médicaments nuisent à long terme sur la moelle osseuse, tout comme les Hospicells citées plus haut (3), affectant l'immunité, générant une mortalité entre 5 et 10 ans après traitement.

 

3- Dans leur ensemble, les médicaments de chimiothérapie sont par eux-mêmes cancérigènes ; le risque est multiplié par deux après ce traitement.

 

 

Les études et données sont biaisées

 

1- Officiellement sur les 1500 études en oncologie, seulement 30 % font l’objet de conflits d’intérêts (journal Cancer). La réalité est toute autre sachant que les auteurs de ces études sont tous associés à l’industrie pharmaceutique.Tous les autres protocoles non destructeurs issus de la recherche de pointe aux États-Unis, en Allemagne, aptes à guérir efficacement la plupart des cancers, ont été occultés et les auteurs dénigrés".   

 

2- Le Pr Henri JOYEUX, cancérologue à Montpellier a déclaré à maintes reprises "ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée  (une majorité de gens est désormais consciente de cette main mise financière)  ; 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles". Ses positions sur ce sujet et sur celui des 14 vaccins imposés aux nouveaux nés, lui ont valu d'être temporairement radié par l'Ordre des médecins.

 

3- La revue Nature indique qu'une grande majorité d'études sur le cancer sont inexactes, potentiellement frauduleuses. En 2009, des chercheurs de l'université of Michigan's Cancer Center concluent à l'identique " Toutes ces études sont biaisées en faveur de conclusions favorables à l'industrie pharmaceutique".

 

4- "Tout le monde devrait savoir que l'essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l'escroquerie, que les grandes organisations de recherche sur ce mal négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent". Linus PAULING, prix Nobel de chimie 1954.

 

 

Les soi-disant progrès de guérison

 

1- Le Dr Jean Claude SALOMON, cancérologue, directeur de recherche au CNRS, précise que " l'on comptabilise sans distinction  les vrais cancers et des tumeurs non cancéreuses, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers apparemment guéris".

 

Il dit aussi " le pourcentage de survie à 5 ans après le diagnostic initial s'est accru pour la seule raison que l'on sait faire des diagnostiques plus précoces, cependant s'il n'est pas accompagné d'une baisse de la mortalité, l'augmentation du pourcentage de survie à 5 ans n'est pas un indice de progrès. Le diagnostic précoce n'a souvent pour effet que d'allonger la durée de maladie avec son cortège d'angoisse". Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques.

 

2- Le Dr Maurice FOX, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux classiques bénéficiaient d'un taux de mortalité bien inférieur à ceux qui les acceptaient. 

 

3- " Malgré l’usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n’a pas changé ces dernières années ". Dr Thomas DAO – New England Journal of Medicine, mars 1975, vol. 292, p 707.  

 

4- Le Dr Ulrich ABEL, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie  par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir fait un travail de fourmi sur plusieurs années en analysant des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était lamentable, seulement 3 %. Il dit "qu'il n'existe aucune preuve scientifique indiquant que ce traitement peut prolonger la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ; il qualifie cette thérapeutique de terrain vague au plan scientifique".

 

 

L'étude la plus récente et la plus large qui soit, publiée par le journal Clinical Oncology, conduite par trois célèbres oncologues australiens, le Pr Graeme MORGAN, le Pr Robyn WARD et le Dr Michael BARTON, basée sur l'analyse minutieuse de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux Etats-Unis. Une compilation d'études relatives à la survie de 5 ans, mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes, durant la période de janvier 1990 à 2004. Analyse de données qui corrobore les conclusions du Dr André GERNEZ, citées plus haut (8).

 

Soit au total 72964 patients en Australie et 154971 aux Etats-Unis, tous traités par chimiothérapie. Au final, ce traitement ne contribue qu'à 2 % de survie des patients, après 5 ans : 2,3 % en Australie ; 2,1 % aux USA. Pourtant l'optimisme reste la mise de nombre de praticiens, espérant que cette "thérapie" cytotoxique prolongera la vie des cancéreux, les auteurs de l'étude  s'interrogent, poursuivent, disant "Comment se fait-il que cette pratique qui a contribué si peu à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès statistique. On peut répondre qu'il en est ainsi car on ne propose aucune autre alternative aux patients peu curieux ou simplement affolés".

 

Retenir, la chimiothérapie est très toxique car son action ne peut pas différencier les cellules cancéreuses des cellules

saines, même si les chimios de dernières générations sont censées ne cibler que les cellules malignes. Dans tous les cas,ce traitement provoque :

 

1) Une mutation des gènes qui s'ajoute à celle provoquée par le cancer lui-même, générant aussi une résistance à la chimio.

 

2) une destruction progressive du système immunitaire, du microbiote en particulier. Sans cette protection innée, 67 % des individus traités par chimio contractant une maladie infectieuse au cours de ce traitement en meurent à cause, par exemple de maladies nosocomiales (staphylocoque doré), de grippe saisonnière, d'hépatite... non combattues par le système immunitaire.  Source 

 

 

Conséquences des rayons ionisants de la radiothérapie, du scanner

 

Nous ne sommes pas égaux face aux rayonnements ionisants 

Pr Michel BOURGUIGNON 

 

 

Les traitements de radiothérapie et de chimiothérapie ont bien évidemment l'immense défaut commun de ne pas pouvoir préserver les cellules saines lorsqu'ils détruisent les cellules malignes, avec toutes les conséquences qui en découlent.

 

La radiosensibilité individuelle est liée à des morts cellulaires en trop grand nombre, incluant la perte de l'homéostasie tissulaire (mise en cause de l'équilibre de ce milieu). Les doses de rayons ionisants dispensés sans erreur d'intensité ni de délivrance (temps d'exposition) de la radiothérapie, du scanner, qu'elles soient fortes ou faibles impliquent une susceptibilité stochastique, basée sur un ensemble de paramètres, caractérisant la Radioesthésie :

 

1) La résistance du tissu humain 2) la réaction défavorable des hormones 3) la réaction des cytokines pro-inflammatoires, comparables aux hormones mais faisant partie de l'immunité. Ce sont les premières cellules qui répondent à un signal de danger en se positionnant sur un tissu lésé cherchant, dans le cas d'ionisation, à réparer les lésions cellulaires en remodelant la matrice extracellulaire 4) la survie de cellules lésées, dont une partie deviendra cancéreuse du fait de lésions majeures de l'ADN et de mutation et d'aberrations chromosomiques, incluant une instabilité génomique toujours impliquée dans la pathogénie des cancers.

 

Tout ceci dans une dans le contexte médical conventionnel, propice aux maladies, au cancer, celui de la chimiothérapie, de l'antibiothérapie...  et dans le contexte plus large de l'environnement de vie : mauvaise alimentation, polluants et pollution, ondes électromagnétiques des téléphones portables, Wifi... stress, tabagisme, alcoolisme, sédentarité...

 

Radiothérapie et dépistage par scanner sont devenus une pratique courante, notamment la mammographie préconisée chaque année ; une vaste fumisterie, liée aussi à des intérêts financiers.

 

 

 

Pourquoi la mammographie est-elle un danger et une vaste fumisterie ?

 

1- Une étude du 20 octobre 1993 publiée dans le journal of National Cancer Institute annonce une augmentation très nette du cancer du sein, dès les premiers traitements par les rayons ionisants du scanner ; lesquels sont prétextés pour traiter des maladies bénignes du sein, chez la femme de plus de 40 ans.

  

2- Une étude brésilienne a démontré que les taux de mortalité les plus élevés étaient associés avec le taux de mammographie.

 

3- Une étude canadienne réalisée sur 90 000 femmes âgées de 40 à 59 ans, sur une durée de 25 ans démontre que les femmes du premier groupe, ayant préféré les contrôles par mammographies annuelles pendant cinq ans n'ont pas bénéficié d'un abaissement de risque de mourir d'un cancer du sein par comparaison avec celles du deuxième groupe ayant opté pour un examen physique de palpation et autres.

 

A la fin de l'étude, les tumeurs du sein détectées ont été plus nombreuses au sein du premier groupe 3250 contre 3133 pour le second. Après cinq ans, l'étude comptabilisait 666 cancers chez les femmes du premier groupe, contre 524 pour celles du deuxième groupe, soit + 142 tumeurs , après 15 ans, 106 tumeurs ont été répertoriées. Par ailleurs, selon les auteurs de l'étude, 22% des cancers diagnostiqués dans le premier groupe ont été surdiagnostiqués avec pour conséquences anxiété, stress, amputations et chimios inutiles. 

 

 

4- Selon le British medical Journal, une équipe de chercheurs français de l'université de Stratuclyde, associée à l'Institut de Recherche en Prévention (iPRI) démontre une absence de bénéfice sur la mortalité des femmes dépistées par mammographie - source

 

5- Une étude auprès de 1600 femmes, publiée dans le Journal of Clinical Oncology de juillet 2006, constate que les femmes ayant fait une mammographie, au moins une fois, avaient un risque à 54 % de développer un cancer du sein, comparativement à celles qui n'en avaient jamais fait.

 

6- Le Dr Russel BLAYLOCK, neuroscientifique, estime que les mammographies annuelles pourraient augmenter le risque de cancer du sein de 1 à 3 pour cent par an, il ajoute "certains radiologistes disent que c'est plus que cela".

 

7- Le Dr Charles SIMONE, ancien du National Cancer Institute, dit "la mammographie augmente le risque de développer un cancer du sein, tout en augmentant le risque d'une croissance tumorale existante, avec propagation de métastases.

 

Source  : Somers , Suzanne . Knockout : Entrevues avec les médecins qui suivent le traitement du cancer et comment prévenir. NY, USA: Three Rivers Press , 2009. 

 

 

 

Dos videos en español

 

1- Dès 1995, le professeur Samuel EPSTEIN, président de la coalition pour la prévention du cancer, médaille d'or de l'académie de médecine Albert Schweitzer, prix Nobel pour ses travaux sur la prévention du cancer, auteur de centaines d'articles scientifiques sur ce sujet, dénonça, le 18 octobre 1995, lors de la journée nationale de la mammographie, les dangers de cette pratique n'ayant jamais fait la preuve de son utilité.

 

Dans son ouvrage "The Politics of Cancer" paru en 1998, jamais traduit en français, Samuel EPSTEIN critique à juste titre le lobby du cancer car chez les femmes en pré-ménopause si un cancer détecté sur quatre n'est qu'une fausse alerte, en revanche un cancer sur quatre n'est pas détecté. Des années plus tard, il consolide son avis, disant " Refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause car les rayons ionisants favorisent la survenance d'un cancer" - voir plus hautles conséquences de la radiothérapie.

 

Tout comme le Dr André GERNEZ, son éminent homologue français (voir plus haut la rubrique "Témoignage" - 10) , le Pr EPSTEIN insiste sur le fait que la détection d'un cancer au scanner ou en mammographie est inutile puisqu'il a pris naissance au plan cellulaire sept à huit années plus tôt, ayant déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, notamment chez les femmes jeunes.

 

 2-  William John GOFMAN, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l'université de Berkeley, spécialiste des effets biologiques des rayons ionisant (rayons X), prix Nobel pour ses travaux sur les effets de l'exposition des populations aux faibles doses de radiation, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales des mammographies, scanners, tomographies, fluoroscopies.

 

 Sachant que la pratique annuelle de 2 mammographies sur chaque sein est l'équivalent à une exposition de 5 rads x 2, soit identique à la très forte radiation que les femmes japonaises ont subie en étant à un kilomètre et demi des radiations résultant des bombes nucléaires larguées sur leur pays en 1945   -  Plus de détails sur d'autres risques et autres témoignages  ici.

 

 

Mammographie, le paradoxe de la popularité

 

1- Le Dr Anthony MILLER, professeur émérite de l'Université de Toronto,  dit "Plus il y a de cancers découverts par mammographie, plus il y a de femmes qui imaginent, de façon erronée, que ce type de dépistage leur a sauvé la vie, et se font à leur tour les avocats du dépistage, ce qui aboutit au paradoxe de la popularité. Bien que ce type de dépistage systématique ne serve à rien, provoquant plus d'amputations du sein et plus de chimios que nécessaire, cet examen est de plus en plus populaire".

 

2- Une étude suédoise sur 60 000 femmes a révélé que 7 tumeurs sur 10 étaient des faux positifs.

 

3- En 2005, l'étude publiée par le New England Journal of Medecine précise que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectées par ce moyen.

 

4- Le Dr James HOWENSTINE, après 34 années de pratique privée et hospitalière, dénonce les faux positifs qui conduisent inutilement à un état de grande anxiété chez les femmes mal diagnostiquées.

 

 

Ce qu'il faut retenir

 

Tout compte rendu de scanner ou de mammographie n'est qu'un cliché radiographique totalement décalé, puisqu'en retard

de sept à huit années sur le point de départ d'un cancerC'est juste la partie émergée d'une tumeur, dont la souche cellulaire,  cancérisée à une période bien antérieure à la date du cliché, sera davantage cancérisée par l'effet destructeur des rayons ionisants de cet examen aberrant. S'ajoutent les faux positifs qui mènent à des ponctions, opérations chirurgicales, inutiles, induisant mutilations, stress et forte anxiété.

 

 

 

Grosseur dans le sein ou sous le bras :

- Une boule au niveau du sein ou de l'aisselle est le signe de cancer le plus couramment observé. Cette grosseur, en général, non douloureuse, est le plus souvent de consistance dure, présente des contours irréguliers. Elle apparaît comme fixée dans le sein.

 

- Des ganglions durs au niveau des aisselles (sous le bras) ; cela signifie parfois qu'un cancer s'est propagé aux ganglions  auxiliaires qui restent indolores.

 

Des modifications de la peau et/ou du mamelon :

-  Rétractation, rougeur, œdème ou aspect de peau d'orange de la peau.

-  modification du mamelon ou de l’aréole (zone qui entoure le mamelon) - rétractation - changement de coloration - suintement       ou écoulement - Changement de forme des seins.

 

 

Pour se substituer aux mammographies, opter pour la palpation, l'autopalpation, après apprentissage, régulièrement pratiquées, sont des moyens d'investigation largement suffisants pour poser un diagnostic, sans risque, ni conséquence pour la santé.

 

La thermographie, analyse de la chaleur des tissus humains. C'est la meilleure technique permettant de détecter la naissance d'un cancer mammaire, bien avant la mammographie, sans aucun danger. Toutefois, cette technique est faussement rejetée car elle n'offre pas de rendement financier.

 

Pour éviter le cancer du sein, les moyens auxquels l'on ne pense pas, tant l'on conditionne les femmes, consistent à :

 

1) Eviter de porter systématiquement le soutien-gorge - développement ici 

2) S'abstenir de la pilule contraceptive - voir ici 

3) Eviter les divers polluants, tabac, tatouages, additifs chimiques et métaux lourds des produits de beauté...

4) Adopter une alimentation la plus adaptée au fonctionnement des ensembles cellulaires.

     Et voir, plus bas, Prévention - Toute l'importance de conseils avisés tout au long de la vie.

 

 

 

L'immense business du cancer 

 

Depuis les années 1990,  dans plusieurs pays occidentaux, en France particulièrement depuis le plan cancer de 2004, l'autoritarisme du cartel pharmaco-chimique, incluant en aval le Conseil de l'ordre des médecins, a définitivement pris le dessus sur toutes initiatives de recherche et de personnalisation de soins en faveur des patients cancéreux.

 

Des dispositions bénéfiques que ne voudraient par prendre les cancérologues au risque de sanctions très sévères allant de la suspension à la radiation du droit à exercer la médecine. Sans esprit de recherche et d'adaptabilité aux diverses maladies modernes, les praticiens médicaux, sous contrôle absolu, ne font qu'appliquer stricto sensu les protocoles et règles que ce cartel ne cesse de leur imposer avec la plus grande rigueur, au détriment du grand public.  

 

 

Témoignage par l’image  75% des médecins ne veulent pas de la chimiothérapie pour eux-mêmes  

 

Le centre du Cancer de l'université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins oncologues, spécialisés dans le cancer du poumon afin d'évaluer leur niveau de confiance pour les produits de soins conventionnels. On leur demanda d'imaginer avoir un cancer et d'indiquer quel médicament ils choisiraient, notamment parmi six autres préparations en cours d’essais. Il y eut 79 réponses, 64 d'entre eux, 81 %, n'accepteraient pas de participer aux essais de chimiothérapie à base de Cisplatine, estimant que ces essais étaient inacceptables vu l'inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité.

 

 

Toutes les autres thérapies bénéfiques ont été occultées, inutile de vous dire pourquoi, vous l'avez tous deviné !

 

Nombre de chercheurs en médecine fondamentale, en cancérologie, en science...ont été spoliés, sujets à pression, exclus...

 

Le Dr Robert ATKINS nomme plusieurs traitements, mais, dit-il, "il n'y a pas d'argent à gagner car ils sont naturels, efficaces et peu coûteux. Toutefois, ils nécessitent une grande part d'autodiscipline de la part des malades".

 

 

 

Le protocole le plus efficace pour guérir d'un cancer

 

Voici un résumé de cette soirée spéciale sur la vitamine C à haut dosage, parmi les sommités médicales présentes, citons l'un des premiers scientifiques à s'être investi pour le potentiel de la vitamine C, le Dr Irwin STONE, auteur du livre "The Heating Factor" expliquant que la vie peut être définie de façon très simple, comme un courant d'électrons. Ses recherches ont convaincu Linus PAULING, prix Nobel de chimie, de lancer des recherches sur ce sujet, sous tendant que le flux de transfert d'électrons est fondamental pour entretenir la vie, car au niveau moléculaire, la vie s'éteint sans la circulation d'électrons. Tout l'intérêt de la vitamine C consiste à faire un pontage, puis un transfert, d'électrons au sein des 100 000 milliards de cellules qui régissent, animent,  l'organisme humain et animal.

 

 

 

Ces travaux permettent de comprendre que l'état inflammatoire et le stress oxydatif qui en découle sont à l'origine des maladies aiguës et chroniques ; Sachant que l'inflammation est une réaction de l'organisme face à une agression extérieure : infection liée à un virus, une bactérie, un parasite, ou un traumatisme, brûlure, allergie... Le stress oxydatif quant à lui est une détérioration des principaux éléments structurants de l'organisme : protéines, lipides, glucides, cellules et leurs membranes, ADN. Il est provoqué par les radicaux libres (molécule ou atome rendu instable à cause de l'absence d'un électron) qui par nature sont instables, par conséquent génèrent d'importants dégâts ; D'où l'intérêt thérapeutique de la vitamine C qui stabilise les radicaux libres en leur apportant des électrons.

 

La vitamine C joue un rôle majeur dans la respiration cellulaire car elle compense la perte d'électrons consécutive à :

 

1) L'oxygène de la respiration pulmonaire indispensable à la vie, mais produisant une oxydation, sous forme de radicaux libres.

 

2) L' environnement :  pollution atmosphérique, tabagisme, mauvaise alimentation, effets des ondes électromagnétiques : téléphone portable, Wifi, courant porteur en ligne (CPL) , 4 G, stress,  sédentarité, maladies, déficience du foie...

 

3) L'état cancéreux génère une perte de vitalité, perte d'électrons  :  perte d'appétit,  perte de poids, déshydratation, fatigue...

 

Pourquoi la vitamine C est-elle indispensable à l'homme ? Parce que l'organisme de la grande majorité des animaux en produit lui-même à partir de la nourriture ingérée, en utilisant une enzyme L-Gulonolactone oxydase - G.L.O - qui transforme le glucose absorbé en vitamine C, plus les animaux sont malades ou stresser, plus leur foie en produit. Par contre l'organisme humain n'est pas doté de cette enzyme, donc incapable d'en produire selon les nécessités de l'existence.

 

le Dr Ron HUNNINGHAKE, directeur de la clinique Riordan, Kansas, Etats-Unis, pionnier du traitement à la vitamine C, dont les travaux sont reconnus dans le monde entier. Depuis 42 ans les médecins de la clinique ont soigné plus de 100 000 patients avec des perfusions de vitamine C à haute dose ; s'agissant d'un traitement qui se conjugue avec d'autres spécialités (EGCG - arsenic trioxide - Glutathione - curcumine - vitamine B17....) pour soigner notamment les cellules cancéreuses du foie, pancréas, prostate, colon, sans jamais provoquer d'effets secondaires majeurs. Tout au contraire, ces perfusions améliorent l'état de stress, de déprime, d'insomnie, de perte d'appétit et d'énergie des malades atteints de cancer. Cette thérapie est agréée par l'Institut National du Cancer américain.

 

Le Dr Atsuo YANAGISAWA, directeur du Centre international de médecine intégrative à Tokyo, a créé au Japon un réseau de 750 médecins capables de proposer des traitements à base de vitamine C, afin que chaque  japonais puisse disposer d'un médecin qui pratique la médecine orthomoléculaire, à moins d'une heure de chez lui. Cette même équipe a suivi et soigné des radiations ionisantes les sauveteurs de la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, par injection de vitamine C à haute dose. Compte tenu des vies sauvées et des multiples guérisons de cancer, le Dr YANGISAWA est considéré par l'Etat japonais comme bienfaiteur national.

 

Le site internet Pubmed recense la littérature scientifique médicale de 58 000 études sur l'acide ascorbique qui se recoupent et se corroborent entre elles, depuis un siècle. Seule l'ignorance ou la mauvaise foi permettent de comprendre pourquoi nombre de médecins réfutent aujourd'hui ces données. Les capacités antivirales et antibactériennes de la vitamine C à haute dose permettent aussi de soigner  :  l'herpès - la variole - la grippe - la rage - l'hépatite aiguë - le virus de la mosaïque du tabac -

les entérovirus, etc.

 

Elle renforce le système immunitaire - accroît la production d'interférons, alliés des globules blancs - augmente la production de lymphocytes T et B - réduit l'état inflammatoire -  participe à la production de collagène favorable aux tissus, artères, peau... Neutralise les toxines, le venin d'animaux, sert d'antidote aux champignons vénéneux, limite l'effet toxique des métaux lourds et des radiations ionisantes, etc.

 

Vitamine C, la molécule sciemment oubliée par le corps médical

 

 

Ou trouver un centre de soins alternatifs au cancer en Europe ? Seulement en Allemagne à Kehl, près de                 Strasbourg, ainsi qu'aux Etats-Unis, au Kansas, dans la clinique Riordan du Dr HUNNINGHAKE

 

 

Dr Dieter HARTUNG

 

Centre de traitement alternatif du cancer à Kehl - Téléphone 0049 - 7851 - 480 - 458

 

 

En Europe,  le seul moyen d'échapper à l'empoisonnement de la chimio et des rayons ionisants consiste à opter pour les soins promulgués en Allemagne par le Centre de traitement alternatif du cancer à Kehl, près de Strasbourg. Les soins, officiellement reconnus par le ministère Allemand de la Santé et remboursés par la Sécurité sociale allemande, sont réalisés sous la supervision du Dr Dieter HARTUNG.

 

Ce centre propose une liste de logements de proximité afin de faciliter le séjour et le repos des patients et accompagnants venus d'autres pays d'Europe.

 

Le traitement, toujours personnalisé, comprend six thérapies associables selon le profil médical de chaque patient. L'essentiel de la thérapie combinée porte sur :

 

1- L'injection de vitamine C, à haute dose, un antioxydant cellulaire de premier plan, beaucoup plus efficace que l'absorption de comprimés, immédiatement opérationnel dans la circulation sanguine, d'autant qu'un organisme cancéreux en nécessite une 

grande quantité, notamment le foie très sollicité par l'accumulation de toxines générées par la cancérisation. Ce qui corrobore les travaux du Dr GERSON et ceux du Congrès international de médecine naturelle.

 

High Dose Vitamin C - Cancer Treatment Guide video 

 

Une thérapie reconnue par les plus grandes autorités médicales au monde : vidéo

 

2- L'injection de vitamine B17, agissant à la manière d'une chimiothérapie naturelle, en détruisant de façon sélective les cellules cancéreuses, empêchant ainsi la formation de métastases, en association avec le Rigvir ® (5).

 

3- L'injection de curcumine (curcuma) qui diminue la résistance de la membrane cellulaire, permettant ainsi aux vitamines C - B17 et Rigvir d'agir jusqu'au cœur de la cellule.  Tout en a) boostant les gènes ayant capacité de détruire les cellules cancéreuses b) sécurisant la production de métastases c) générant un effet de synergie avec les autres spécialités du traitement.

 

4- L'injection d'extrait cellulaire de foie et de rate, c'est le moyen de permettre à l'organisme de drainer naturellement les cellules cancéreuses. Thérapie éprouvée dans le traitement du cancer du poumon, de l'intestin, du sein, du rein, des os, et d'autres applications. Ce qui corrobore les travaux du Dr KELLEY sur le soutien nécessaire à apporter à un pancréas défaillant afin d'éviter la production de métastases. Le Dr KELLY est l'auteur du livre "Se guérir du cancer sans chirurgie, sans chimiothérapie, sans radiothérapie, c'est possible". 

 

5- L'injection de Rigvir ®  agissant à la manière d'une nano tête chercheuse qui trouve et détruit les cellules cancéreuses, tout en renforçant le système immunitaire.

 

6- L'Hyperthermie, le moyen très simple de détruire les cellules cancéreuses par la chaleur, en inhibant leur nutrition. Ce qui corrobore les dires du professeur André LWOFF, prix Nobel de médecine 1965, expliquant que la fièvre (hyperthermie) agit contre les micro-organismes néfastes.

 

 

Le traitement alternatif du cancer sera très utilement complété par :

 

a) Toutes les autres thérapies complémentaires, la nutrithérapie, particulièrement utiles pour soigner le cancer décrites dans le livre "l'Empoisonnement Global" au chapitre 30 - voir plus bas " Toute l'importance de conseils avisés tout au long de la vie".

 

Prix du livre en PDF - 370 pages - 10 € - pour le commander me contacter.

 

 

b) Le procédé d'oxygénation cellulaire "Bol d'air Jacquier"

Trois séances quotidiennes matin, midi et soir, de 2 à 3 minutes chacune. 

 

 

c) Les bains Salmanov

 

  

Le rôle clé des capillaires sanguins et des glandes sudoripares

 

Le système circulatoire comprend un réseau extraordinaire de capillaires sanguins d'une longueur totale de 30 à 40.000 kilomètres. Plus l’on avance en âge, plus les capillaires s’obstruent. Les globules rouges ne peuvent y passer qu'un par un, de surcroît si le tissu des capillaires n'est pas assez tonique, les globules rouges doivent se déformer, s'allonger, pour pouvoir y circuler - vidéo. L'activité physique, idéalement la marche rapide, accompagnée de sudation n'est pas suffisante pour éliminer l'ensemble des toxines, il faut la compléter par les bains Salmanov afin d'aider le sang et les glandes sudoripares à éliminer le maximum de métaux lourds par cet émonctoire ressemblant à un important réseau circulatoire, plus long que nombre de réseaux routiers !

Les glandes sudoripares sont dégradées par les métaux lourds, la chimio, la peau est un émonctoire à part entière de par sa fonction et sa surface d’environ 2 m², organe mis en cause par les conséquences de la vie moderne (sédentarité, alimentation dénaturée, majorité des médicaments chimiques, chimiothérapie, radiothérapie, excès d'exposition au soleil, acidose tissulaire, air vicié…)

 

Application : à partir du trentième jour de détoxification, faire au minimum deux bains par semaine pendant 5 semaines consécutives, interrompre et reprendre un mois plus tard.

 

Modalités : avoir une baignoire, se munir d’un thermomètre et d’un compte minutes. Mettre une serviette sur le fond de la baignoire pour ne pas glisser car l’émulsion rend le socle glissant. Préparer dans une bouteille d’eau très chaude (60°c) 50 ml de produit, un mélange mixte jaune + blanc (25 ml de chaque) si la tension artérielle est comprise entre 11 et 16, soit le flacon jaune (50 ml) si la tension artérielle est supérieure à 16.

 

Ne pas mouiller les muqueuses. La térébenthine est un peu agressive pour les parties sensibles du corps, s’en protéger en mettant de la vaseline sur les testicules ; pour la femme sur la partie intime. Durée du bain de 15 à 20 minutes à 40 °c. Très important à la sortie du bain, sans se rincer, ni s’essuyer, enfiler un peignoir de bain et se mettre sous la couette pendant 30 minutes, car la sudation qui s’en suit permet de produire 75 % du travail sur les capillaires.

 

Rapporter le résultat de l'ensemble de cette thérapie 1 à 6  ici.

 

Toute l'importance de conseils avisés tout au long de la vie

 

3) Si vous voulez profiter de tous les conseils utiles au quotidien, pour tous les membres de la famille, afin d'éviter les pièges de l'alimentation industrielle, OGM, produits chimiques... vous pouvez bénéficier de l'expérience de l'auteur de ce site, également auteur du livre illustré, contenant de nombreux liens," L'empoisonnement Global", en format numérique, PDF, au prix de 10 €, pour cela me contacter. S'agissant d'un ouvrage qu'aucun éditeur français n'a voulu éditer, puisqu'il décrit et révèle des pratiques insoupçonnées, le jeu de la corruption, des dérives profondes - voir l'avis critique de Média press info.

 

L’Empoisonnement global

 

Dernière édition juillet 2018